Pukeko

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Today has been a sunny day with infinite blue sky... We've got now new zealand phone numbers, saw a group of schoolboys singing under the shadow of a tree, saw some flowers growing on a wooden roof frame in front of the Christchurch Cathedral under rebuilding, some gulls playing with the wind at the estuary and... a strange bird that lives in Australia and New Zealand : the Pukeko. Its breast is colored of electric blue and its beak and paws are red like blood. 

The pukeko is a widespread and easily recognisable bird that has benefitted greatly by the clearing of land for agriculture. In addition to its brilliant red frontal shield and deep violet breast plumage, the pukeko is interesting for having a complex social life. In many areas, pukeko live in permanent social groups and defend a shared territory that is used for both feeding and breeding. Social groups can have multiple breeding males and females, but all eggs are laid in a single nest and the group offspring are raised by all group members.

Lenght : 38-50cm
Weight : 1090 g (male) ; 880 g (female)


Petite rencontre du jour, quelques Pūkekos qui picorent dans l’herbe le long de la route. Ce sont des oiseaux originaires d’Australie et de Nouvelle-Zélande, ils ne sont pas rares ici apparemment. Ils sont reconnaissables par leur torse bleu/violet ainsi qu'à leur bec et longues pattes rouge vif. Le nom Pūkeko est d'origine maori. Appelé Talève Sultane en français, et communément appelé "Swamphen" (poule des marais) ou "purple Swamp Hen" en Australie, on peut aussi le rencontrer dans le Sud de l'Europe, l'Egypte, à Madagascar et en Asie..
Il vit principalement dans des terres marécageuses et des pâturages, se nourrit de divers végétaux, mais aussi d'animaux, d'insectes, d'araignées, ainsi que de grenouilles, de petits oiseaux et d'œufs.

Longueur : 38-50cm
Poids : 1090 g (mâle) ; 880 g (femelle)

 

 

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Le soleil a brillé toute la journée et n’a été arrêté par aucun nuage. Nous avons fait notre premier petit pas en avant et avons à présent un numéro de téléphone néo-zélandais. Et deuxième étape, le rendez-vous lundi matin pour l’ouverture de notre compte en banque.

Suite de l’exploration de la ville. On parcourt à nouveau des rues qui nous semblent à présent distinguables :-) et dans lesquelles on commence à retrouver notre chemin. Il y a plusieurs petits endroits plein d’animation, de food trucks avec de la nourriture du monde entier, des containers aménagés en magasins, etc.. 

Sur la place de la cathédrale, on s’arrête pour écouter des écoliers d’une dizaine d’année qui chantent en uniforme à l’ombre d’un grand arbre.
On poursuit notre route en quittant la ville, on roule, on roule, en direction du grand large. Dans le ciel bleu de l’estuaire, les mouettes prennent plaisir à jouer dans les bourrasques de vent et à essayer de chaparder notre mini-pic-nic. Le soleil se couche et le vent devient glacial, il est temps de se remettre en route avant de devoir rentrer dans le noir.

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